Même texte avant traduction (google translate) (I may improve my english but I'm very slow student!!! sorry!!)

Bonjour à tous,

Je vous écris de nouveau car j'ai des doutes sur mon sevrage effexor et cherche un peu d'aide et de réconfort auprès de membres qui connaissent le sujet.

Je résume: 225 mg d'effexor de mi-mars à début juin; puis - 33 % d'un coup (prescription du psychiatre à la sortie de l'HP: super, on est censé ressortir "stabilisé"!!) début juin (je ne ressens pas de symptômes mise à part un transit intestinal meilleur!) + 20 mg lyxansia en journée + 2 mg noctamide et 50 g de théralène pour essayer de dormir (très mal en fait!).

Puis avant la découverte de votre forum et du forum d'entre aide au sevrage des benzodiazépines,je fais yo-yo : - 25% d'effexor, + diminution très rapide et assez anarchique du lyxansia (en trois à 4 semaines je supprime tout progressivement Embarassed ): résultat, ça ne va pas du tout, je me sens très mal...super agitée, crises de larme, ne tiens plus en place...

Puis:
Je trouve et je lis votre forum et celui pour les benzodiazépines (ouf!) ...

Avec vos conseils, je stabilise le lyxansia aux doses de départ (20 mg). J'avais déjà réduit le théralène à zéro durant juin, et attaqué une diminution du noctamide (sur conseil d'un des généralistes chez qui je suis allée frapper entre temps parce que je suis paumée!) en le limant petit à petit...

Depuis, donc: vu que je dors mal même avec le noctamide (je "dors" mais je ne récupère pas vraiment et le matin je me lève dans les choux, sans énergie ): je le rogne de 1/8 tous les 15 jours. Finalement, je dors moins bien les 2 ou 3 nuits qui suivent la diminution mais après c'est mieux! Donc, là j'en suis arrivée à 1mg de noctamide depuis lundi dernier (je le "rogne" depuis début juillet).

J'ai aussi frappé aux portes de 4 généralistes différents avant d'en trouver un (aussi homéopathe) qui comprenne la nécessité d'un sevrage (il a compris que les médicaments m'ont rendue plus malade qu'au départ: enfin un qui le reconnaît )

Donc, à l'aide de granules d'Arsenicum, il m'a fait réduire l'effexor de -25% du 19 août au lundi 3/09: j'avais un peu peur de cette diminution rapide mais comme j'ai déjà supporté les -33%, je tente le coup : je n'ai ressenti aucun effet secondaire.
Je suis restée stable pour le lyxansia et ai fait pour la dernière fois un petit rognage du noctamide pour en arriver à 1mg lundi dernier (je pense que ce rognage doit correspondre à environ -10% du noctamide en cours).

Je pense qu'à ce niveau de lecture, vous n'allez peut-être (sans doute ) penser que ce n'est pas bien raisonnable de diminuer deux molécules à la fois (noctamide et effexor): mais comme je ne me repose pas du tout avec mes 2 mg de noctamide et que je récupère mieux en baissant la dose petit à petit ...(ça c'est pour essayer de me justifier un peu ...)Donc, je continue de rogner...

Bon, jusqu'à ce lundi tout allait mieux: meilleur sommeil, meilleure digestion; un peu fatiguée en journée mais moins dans le pâté le matin...

Sauf que depuis hier, je dors moins bien (pas de difficulté d'endormissement mais réveils matinaux fréquents...avec des difficultés à se rendormir); mon transit s'accélère (ben, désolée de préciser ça), je me sens un peu barbouillée...et plus fatiguée (logique puisque je dors moins bien)

Alors je me demande si c'est lié aux symptômes de sevrage de l'effexor. Peut-être que -25% sur 15 jours (sans symptômes) et moins 10 % d'effexor de nouveau depuis lundi dernier peut provoquer ce genre de réactions? Qu'en pensez-vous?

Personnellement, je ne pense pas que ce soit dû à la diminution du noctamide. Je ne sais pas ce que vous en pensez? Est-ce que ça peut provoquer des problèmes digestifs?(pour les problèmes de sommeil, ce serait logique)
(je précise que je ne peux pas substituer par lyxansia en gouttes parce que je n'en ai pas pour le moment)

Alors:mes questions"'nombreuses"...courage!)

Est-ce qu'il faut que je fasse une pause plus longue pour ma diminution du noctamide ou carrément rester à 1 mg tout le long de mon sevrage de l'effexor ? (là, ça m'ennuierai parce qu'avec noctamide le sommeil est très artificiel: c'est une vraie cochonnerie à laquelle on devient très vite accroc... je pense que vous le savez... et j'aimerais bien que mon petit cerveau réapprenne à dormir tout seul petit à petit)

Est-ce que je dois espérer que mes symptômes s'estompent les jours prochains ? (aujourd'hui, ce n'est pas pire qu'hier, c'est pareil...ça me donne un peu d'espoir)

Est-ce que si ils s'estompent (ce que j'espère), je devrais par la suite continuer des diminutions de 10% de l'effexor , voire moins sur 15 jours ou plus, ou dois-je rester à 10% en serrant les dents pendant quelques jours (pour le moment ça reste supportable)
(je suis en ce moment à environ 101 mg d'effexor , en partant de 225 mg début juin)

Ce qui m'inquiète, c'est de "déjà" ressentir des choses désagréables avec 101 mg...Je me fais peur en me disant que si ça commence comme ça, ça risque d'être plus long et plus pénible que prévu pour arriver à 0 mg ... et que pendant tout ce temps je continue à devoir rester avec mes 20 mg de lysanxia (= 40 gouttes) : ce qui est beaucoup !! (ils m'ont gavée de médicaments à l'hôpital psy parce que l'effexor n'a jamais pris le relais des benzos...mais n'a fait qu'aggraver mon état donc, de plus en plus de mauvais symptômes = de plus en plus de molécules pour contre carrer les effets néfastes des premières... ce qui est logique pour les psychiatres!)

Voila. Vous aurez compris que je suis d'un naturel à me poser beaucoup de questions...et à m'inquiéter assez vite (désolée )...et à être très en colère contre le milieu psychiatrique et leurs médicaments dangereux.

C'est que pendant un bon mois j'ai cru que ces foutus médicaments allaient m'aider...(je faisais confiance à mon médecin , moi!) puis, finalement je me suis aperçue que c'était de pire en pire...mais mon médecin de l'époque m'a dit que c'était ma maladie qui s'aggravait et m'a envoyée vers des psychiatres , qui contre mon gré m'ont expédiée à l'Hôpital Psychiatrique (avec la signature de mon mari qui n'y comprenait rien) et où j'ai dû gober leurs affreux médicaments. Puis j'ai dû "aller dans leur sens" pour montrer patte blanche et sortir (personne ne m'a avertie que l'Hospitalisation sur demande d'un tiers = sous contrainte ; avait été levée par le psychiatre au bout de quelques jours et que j'aurais pu signer une décharge: ce sont des menteurs; ils abusent des patients médicalement parlant!! )

Désolée pour la longueur de mon post (elle est proportionnelle à mes interrogations et mes inquiétudes, et ma révolte!)

Si quelqu'un pouvait me donner quelques éléments de réponse quant aux démarches que je dois faire pour mes ou mon sevrage(s), je lui en serait extrêmement reconnaissante (quitte à me gronder...tant pis!)

Bien amicalement.

Bises à tous et bon courage! (il en faut beaucoup!)

Dédé